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Carrière Wellington
Sous les pavés d'Arras, les Boves, et la carrière Wellington, dix-neuf Kilomètres de galeries, à proximités de la ligne de front !
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Rotonde de Longueville (Seine-et-Marne)
Une rotonde, au sens d’infrastructure ferroviaire, est un bâtiment de forme annulaire servant au remisage des locomotives. Elle est desservie par un pont tournant.
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Ouvrage de la Ferté.
L’ouvrage de La Ferté est un ouvrage fortifié de la ligne Maginot situé sur les communes de Villy et de La Ferté-sur-Chiers, dans le département des Ardennes. Dans le projet initial, un ouvrage mixte (d’infanterie et d’artillerie) devait être construit à Vaux-lès-Mouzon, entre Carignan et Mouzon, couvrant ainsi les arrières de l’ouvrage de La Ferté. Pour des raisons budgétaires, cette construction est abandonnée, laissant le soin de la défense des abords aux troupes d’intervalles. Le « petit ouvrage de La Ferté » devient, ainsi, le dernier maillon de l’extrémité nord de la ligne Maginot, pour la partie dite continue de cette ligne Maginot. Par rapport à une telle position, sa puissance de…
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Rotonde de Buire (Hirson)
Une rotonde, et une infrastructure ferroviaire, de forme annulaire servant au remisage, à l’entretien, et à la réparation des locomotives. Elle est desservie par un pont tournant ou une plaque tournante pour les premiers modèles. Construit en arc de cercle, les locomotives y accédaient par voie ferrée. De là, elles pouvaient être aiguillées à l’intérieur de la rotonde par rail où elles étaient garées. (Exemple ci-dessus, la rotonde de Poitiers avec son pont tournant, en 1948.) Mais, venons-en à ce qui nous intéresse ! Le Dépôt ferroviaire de Buire (Hirson, dans l’Aisne). …
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Fort de Laniscourt (Appelé aussi Fort Serrurier)
Le fort visait à se prémunir d’une invasion allemande venant de Belgique. Durant les deux guerres mondiales, les allemands s’en servirent pour l’entreposage et le stockage de vivres et de matériels. Par la suite, les Français le transformèrent en dépôt de munitions, et ceci jusqu’en 1963. Le fort fut définitivement démilitarisé en 1998 !
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Saint-Malo, le repaire des corsaires.
Cité corsaire, capitale de la mer, joyau de la Côte d’Émeraude, la ville est située à la pointe nord de l’Ille-et-Vilaine, en bordure de la Normandie et à quelques encablures du Mont Saint-Michel.La construction des remparts de Saint-Malo débute en 1144. Mais les trois quarts de l’enceinte ont été construits entre 1708 et 1742 par l’ingénieur militaire Siméon Garangeau. Épargnés par les bombardements américains du mois d’août 1944, les remparts de Saint-Malo sont classés monuments historiques depuis 1886.
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Blockhaus d’Eperlecques
Situé dans le Pas-de-Calais, au nord de Saint-Omer, le bunker d’Eperlecques est un impressionnant vaisseau de béton, construit en pleine forêt ! Les travaux débutèrent en mars 1943. Il devait servir comme base unique pour assembler et envoyer des fusées V2. Classé monument historique, avec ses 90 000 tonnes de béton, c’est le plus gros blockhaus du nord de la France. Il fut construit par des travailleurs forcés issus des camps de concentration ou de travail, ainsi que par des Français enrôlés de force. Le blockhaus ne fut jamais achevé du fait des bombardements répétés des Britanniques et des Américains (notamment par les terribles bombes sismique Britannique Tallboy) . Les…
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Coupole d’Helfaut-Wizernes
Site assez extraordinaire, la coupole d’Helfaut-Wizernes est un immense bunker, construit par l’Organisation nazie Todt entre 1943 et 1944, avec l’apport de prisonniers soviétiques, hommes et femmes, employés tels des esclaves pour toutes les basses besognes. Aujourd’hui il est devenu un centre d’histoire et de mémoire, situé dans la commune d’Helfaut, près de Saint-Omer. Il devait servir de base de lancement aux fusées V2 visant Londres et le Sud de l’Angleterre. Massivement bombardée par les Alliés, La Coupole fut abandonnée pendant l’été 1944, après le débarquement de Normandie, et n’entra jamais en service
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Creute de la Chaouïa
« La Chaouia ». A proximité du chemin des Dames, cette carrière (creute en patois Picard) fut aménagée en poste de commandement. En 1917, le site est occupé par le 6e régiment du génie, composé de zouaves marocains , qui lui donnent ce nom. (éleveurs de moutons en Berbère).
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Carrières de Fruty
Située sur l’axe Soissons / Laon, à proximité du lieu-dit, le Moulin de Laffaux, les carrières de Fruty sont un lieu de terribles combats, particulièrement en septembre 1918. Les fusiliers marins y sont engagés et subissent de lourdes pertes (voir sur place, le monument en leur honneur). Finalement les Français s’en emparent et les compagnies Z, les « nettoient » au lance-flammes, dont les traces sont encore visibles aujourd’hui.
